La première étape pour se lancer dans l’aventure d’une carrière entrepreneuriale est de déterminer le secteur dans lequel vous souhaitez vous lancer. C’est la raison pour laquelle il est recommandé de connaître sa zone géographique, ses contraintes ou son secteur d’activité. En effet, il est plus facile de se concentrer sur un domaine où les besoins sont importants que sur un autre plus récent et à taille humaine. Le choix du secteur d’activité est primordial car la maîtrise des règles de gestion, des réglementations et du droit sont essentielles pour monter une entreprise.
En fonction de votre projet, vous pouvez vous inspirer des bonnes pratiques mises en place par les petites entreprises présentes sur le marché. Ces associations constituent un support idéal pour trouver une entreprise qui saura répondre à vos besoins.
Les premières années de création d’une activité entrepreneuriale sont celles durant lesquelles il faut s’équiper et être prêt à affronter toutes sortes de situations. Cette période peut être très longue. Il est donc important de garder à l’esprit que les premiers mois passés sur le marché du travail ne sont pas toujours ceux pendant lesquels vous gagnez le plus d’argent. De ce fait, il est nécessaire de bien évaluer ses premiers pas et de s’assurer qu’il existe une formation entrepreneuriale, des aides à la création d’entreprise ou un diplôme dans votre secteur d’activité.
Si vous n’avez pas encore trouvé votre domaine de prédilection, il est possible d’apprendre la comptabilité en étant auto-entrepreneur. Cela peut être intéressant pour faire le point sur les compétences requises et définir un plan de financement. Il existe également des formations en ligne pour apprendre le métier de comptable et devenir expert-comptable. Vous pouvez vous tourner vers des écoles qui proposent des formations en ligne. Elles sont accessibles à tous et permettent d’apprendre sur le tas. Les logiciels comptables sont également indispensables car ils sont de plus en plus accessibles. En effet, grâce à la digitalisation, les plateformes de gestion et les logiciels spécialisés permettent d’automatiser certaines tâches. De plus, ils présentent l’avantage de pouvoir être modifiés à tout moment pour répondre aux besoins des utilisateurs.
Si vous n’avez pas les compétences nécessaires pour exercer le métier de comptable, il est possible de faire un stage en tant qu’apprenti comptable auprès d’un cabinet ou d’une association. Ces organismes peuvent proposer des postes intéressants dans les grandes entreprises, notamment celles qui font du business international. Les personnes qui souhaitent faire ce métier peuvent profiter d’un accompagnement sur-mesure afin de gagner en expérience et de développer leur réseau professionnel.
Le salaire d’un comptable en indépendant dépend de plusieurs facteurs. Le plus important est la notoriété du cabinet comptable, car il attire le plus grand nombre de clients. En général, les professions n’ayant pas les mêmes valeurs que les entreprises peuvent être mal rémunérées. En revanche, si le cabinet comptable recrute des personnes ayant un diplôme reconnu et qui ont une certaine expérience dans le domaine, il sera plus rémunéré que les débutants.
Le secteur de la comptabilité connaît une évolution importante en France ces derniers temps. En effet, les nouveaux cabinets comptables ainsi que les nouvelles technologies permettent de gagner du temps et d’économiser beaucoup d’argent en consacrant le plus de temps possible aux tâches quotidiennes. Les responsables comptables doivent apprendre à gérer la comptabilité de manière plus efficace et à automatiser certaines opérations.
Pour devenir comptable, il est possible d’obtenir un diplôme universitaire ou un CAP comptabilité et gestion. Les candidats doivent également se présenter aux épreuves écrites qui se déroulent pendant une période précise. Pour ceux qui souhaitent devenir comptables en freelance, ils peuvent postuler directement sur des sites web dédiés comme Urssaf.org ou SIRH.com.
Le comptable est un métier nécessitant beaucoup de rigueur et de connaissances. Ce poste exige un sens de l’organisation, une certaine disponibilité et du sérieux. Il doit également être capable d’établir et d’exécuter des comptes annuels ainsi que des fiches de paie pour ses clients.
Pour obtenir de meilleurs conseils et bénéficier d’un tarif avantageux, il est recommandé de passer par un cabinet comptable. Les experts-comptables vous proposeront des services de qualité tout en restant accessibles à tous les profils.
Le salaire d’un comptable varie en fonction de l’expérience et du diplôme obtenus. Le débutant gagne entre 2 000 et 4 000 euros bruts par mois tandis que les comptables confirmés peuvent percevoir des sommes bien plus importantes.
Pour devenir comptable, il est possible de suivre une formation en comptabilité et gestion. Cette dernière permet d’obtenir un diplôme allant du CAP au bac +5. Les futurs comptables se préparent aux épreuves écrites et orales pour passer les épreuves écrites. Celles-ci se composent d’un QCM et d’une dissertation à choix multiples sur un sujet de droit.
Après la réussite des concours, il est possible de suivre une formation dans un Institut supérieur des professions comptables (ISPC). Celle-ci permet d’obtenir un diplôme d’expert-comptable. Ce dernier peut être suivi en alternance ou en formation continue.
Pour devenir comptable, il est conseillé de s’inscrire à un bac +2, à un BTS ou un DUT. Le comptable confirmé peut également suivre une formation en comptabilité. La durée d’un stage est de deux ans pour obtenir le diplôme.
Il existe des organismes qui proposent de nombreuses formations en comptabilité et gestion. C’est le cas du Centre régional de formation professionnelle (CRFP) et du Centre de formation continue des professionnels de la santé (CFPS).
Le CFPS est une école privée spécialisée dans le domaine de la comptabilité et de la gestion. Cette dernière propose des formations dans plusieurs domaines comme l’économie, les finances, le droit ou encore la gestion d’entreprise. Le CFPS dispense également des formations continues pour devenir comptable.
Le CFPS propose une formation diplômante, qui va du CAP au bac +5. Les étudiants doivent passer un examen à l’issue de la formation. La durée d’une année universitaire est de 28 semaines.
Le centre d’examen est composé de plusieurs épreuves théoriques et pratiques. La matière principale est le BTS comptabilité gestion.
La formation dure un an, mais la durée peut varier en fonction des formations proposées par le centre. Le diplôme est délivré à l’issue de la formation.
Le cours peut être suivi en alternance ou en formation initiale. Pour pouvoir prétendre au diplôme, le candidat doit justifier d’une expérience professionnelle d’au moins deux ans.
Il est également possible de se former en alternant le CFA et la formation continue. L’entreprise d’accueil bénéficie d’un financement partiel de l’organisme de formation. La durée du contrat est alors fixée en fonction du secteur d’activité.
Si le demandeur n’a pas trouvé d’entreprise, il peut tout de même passer un examen. Pour cela, il doit contacter la Commission régionale des formations professionnelles et de l’apprentissage.
L’examen est composé de deux épreuves écrites et de trois épreuves orales. La première épreuve écrite porte sur le contenu des cours et permet d’évaluer les connaissances du candidat. La seconde épreuve écrite évalue la capacité du candidat à présenter et à défendre un projet professionnel.
La dernière épreuve est orale. L’examinateur évalue les capacités du candidat à faire preuve d’esprit d’analyse, de synthèse et de pédagogie. Le but est de mesurer la motivation du candidat et sa capacité à travailler en équipe.
La formation a lieu deux fois par an. Le délai d’accès est de deux mois après la date de l’examen.
La formation au brevet de technicien supérieur (BTS) se déroule en deux temps. Le candidat est d’abord formé sur le terrain, puis il effectue un stage pratique de 15 semaines dans une entreprise ou dans un organisme de recherche.
La formation initiale dure deux ans et permet au futur diplômé d’être opérationnel dès l’obtention de son diplôme. Il s’agit aussi d’une formation professionnelle qui prépare les étudiants à intégrer un emploi en entreprise ou à devenir cadre.
La durée du stage varie entre six mois et un an. Il est sanctionné par un examen final organisé par l’établissement de formation.
Après une formation initiale, les diplômés peuvent choisir entre plusieurs voies d’accès à la profession :
L’apprentissage qui permet de suivre une formation de trois ans après le bac. Cette formation est accessible dès l’âge de 15 ans.
La formation professionnelle continue qui s’adresse aux salariés et aux demandeurs d’emploi. Elle peut durer entre un et cinq ans selon la qualification.
La validation des acquis de l’expérience (VAE) qui permet d’obtenir une licence professionnelle, un titre professionnel ou un diplôme universitaire. Cette formation est accessible après avoir validé l’année de formation initiale.
Le bilan de compétences qui est un moyen d’analyser ses aptitudes et ses motivations afin de trouver un emploi, une formation ou de changer de métier.
Poursuivre des études pour se spécialiser
La poursuite des études dans l’enseignement supérieur permet d’acquérir un diplôme plus élevé que celui obtenu en formation initiale. On distingue deux types de formations :
Le cursus universitaire qui est un parcours de 2 ans après le bac permettant aux futurs diplômés d’obtenir une licence, un master ou un doctorat. Il peut être suivi en alternance ou non.
Les formations professionnelles pour apprendre le métier d’un secteur spécifique. Elles permettent aux étudiants de se spécialiser et de devenir un professionnel.
Déroulement des études
Après la formation initiale, les élèves suivent un enseignement de tronc commun et de spécialité. Ensuite, ils passent des examens en vue d’obtenir une licence professionnelle ou un master.
Ces deux formations se déroulent à temps plein sur une année. En général, les cours sont dispensés par des enseignants qui s’occupent de la matière et qui donnent les explications nécessaires. La durée totale d’un programme varie entre 2 à 3 ans en fonction du diplôme.
La formation continue
Après avoir terminé les études supérieures, l’élève peut poursuivre ses études avec un diplôme de l’enseignement supérieur. Il peut opter pour la formation professionnelle, la formation en alternance ou encore le tutorat en ligne.
La formation professionnelle permet aux jeunes de s’orienter vers des métiers précis. Ils apprennent les techniques et les méthodes nécessaires pour développer leurs compétences professionnelles. La formation professionnelle peut se faire soit à temps plein, soit à temps partiel. Elle se déroule en entreprise ou dans un centre de formation professionnelle. Il est possible d’y acquérir des diplômes et des certificats professionnels.
La formation en alternance permet aux étudiants de recevoir une rémunération pour les cours suivis tout en étant salarié d’une entreprise.
La formation en tutorat, quant à elle, a pour objectif de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes en difficulté. Elle peut se faire soit à temps plein ou à temps partiel. Les tuteurs ont le rôle d’un tuteur dans la formation des jeunes. Ils sont chargés de les guider et de les aider à s’insérer dans la vie active.
Le choix du statut dépend surtout de votre situation personnelle et professionnelle. Pour que votre candidature soit validée, vous devez remplir certains critères tels que :
– Être titulaire d’un diplôme de niveau II ou III ;
– Avoir un emploi en CDI depuis au moins 1 an ;
– N’avoir jamais été stagiaire, ni salarié dans les 12 derniers mois ;
– Vous êtes de nationalité française ou européenne.
Le choix du statut dépend également de votre situation professionnelle. Pour que votre candidature soit validée, vous devez remplir certains critères tels que :
Pour qu’un diplôme soit reconnu par la Commission nationale de la certification professionnelle, il doit avoir été obtenu au moins en 3 ans après le bac ou le brevet des collèges.
La certification correspond à une qualification professionnelle qui sert de base à l’insertion professionnelle. Elle peut également être obtenue en lien avec le secteur privé.
Pour obtenir cette certification, il faut suivre une formation en alternance ou effectuer un stage rémunéré dans un organisme de la formation professionnelle. Le choix du statut dépend aussi de votre situation personnelle et professionnelle. Pour que votre candidature soit validée, vous devez remplir certains critères tels que :
– Avoir au moins 2 ans d’inscription dans un établissement de formation ;
– Être titulaire d’un diplôme ou titre de niveau IV et/ou III ;
– Faire la preuve de votre disponibilité ;
– N’avoir jamais été salarié dans les 12 derniers mois.
Pour que votre candidature soit validée, vous devez remplir certains critères tels que :
Le statut de travailleur indépendant est un choix de carrière possible si vous ne souhaitez pas être salarié. Vous pouvez également choisir d’être entrepreneur individuel ou associé dans une société. Le choix du statut dépend de votre activité et de votre situation personnelle.
Pour obtenir cette certification, il faut suivre une formation en alternance ou effectuer un stage rémunéré dans un organisme de la formation professionnelle. Le choix du statut dépend aussi de votre situation personnelle et professionnelle. Pour que votre candidature soit validée, vous devez remplir certains critères tels que :
Le statut de travailleur indépendant est un choix de carrière possible si vous ne souhaitez pas être salarié. Vous pouvez également choisir d’être entrepreneur individuel ou associé dans une société. Le choix du statut dépend de votre activité et de votre situation personnelle
Le plus : cette démarche est d’autant plus efficace que toutes les offres d’emploi ne sont pas publiées par les entreprises et elle fonctionne particulièrement dans certains secteurs : la vente, l’entretien d’intérieurs, l’hôtellerie-restauration et les postes de cadre tels que les ingénieurs ou les chefs de projet.
Les missions confiées aux travailleurs indépendants peuvent prendre des formes très variées : la réalisation de travaux et de services, la fourniture d’une prestation intellectuelle (rédaction, analyse, expertise…), le conseil et l’accompagnement de personnes…
Attention : Cette certification n’est pas une garantie de succès commercial, ni un argument de poids pour votre future entreprise. Elle a surtout pour but d’évaluer la capacité du candidat à réaliser sa propre activité en toute autonomie.
Pourquoi les entreprises embauchent-elles des travailleurs indépendants ?
Les entreprises, de leur côté, doivent être en mesure d’assurer une bonne gestion de leurs ressources humaines. Et pour cela, il est nécessaire que les ressources humaines possèdent un diplôme de niveau IV ou plus.
Pour recruter des salariés, il est parfois nécessaire de passer par un marché d’emploi réservé aux travailleurs indépendants. Cette sélection a pour but de s’assurer que l’entreprise satisfait aux exigences de qualification et qu’elle sera en mesure de recruter en CDI.
Les salariés titulaires d’un diplôme de niveau IV ou plus sont embauchés dans des secteurs d’activité très variés : la production, l’entretien et le ménage, le transport et la logistique, la sécurité et l’hygiène, le secteur de la restauration…
Les salaires des travailleurs indépendants ne sont pas élevés. Ils ont généralement un faible niveau de qualification. Et ils peuvent exercer plusieurs activités simultanément. Ils peuvent être amenés à travailler à domicile, en bureau ou en entreprise.
L’important est de s’assurer que le salarié est en mesure d’exercer son activité. Car c’est à lui de savoir gérer une entreprise et faire valoir ses droits. Il faut donc qu’il soit en mesure de respecter ses obligations et que les règles du Code du travail soient bien respectées.
En outre, le statut d’indépendant présente un intérêt sur le plan fiscal :
un salarié bénéficie des mêmes
C ’est une solution économique pour faire face à un changement d’activité et ne pas avoir à constituer de nouvel apport en capital.
En contrepartie, le travailleur indépendant est rémunéré selon les usages du secteur d’activité. Il ne perçoit pas de salaire fixe. Mais il est imposable sur son bénéfice réel, c’est-à-dire les rémunérations versées au titre de l’activité indépendante.
Au moment de la retraite, le travailleur indépendant verse ses cotisations aux régimesiblez aux Assédics (voir la fiche Comment se faire rembourser les frais de santé d’un indépendant ?)